Artiste


Fille de peintre, Starowski Doris s’est passionnée dès son plus jeune âge pour le dessin et pour la peinture.

Au collège du château d’Aubonne, Elle a la chance d’avoir comme professeur de dessin Germaine Hermanjat, la fille du célèbre peintre :

 « C’était une femme très intéressante, imprégnée du monde de la peinture mais également fascinée par le désert, et au retour de ses voyages, elle nous le racontait. »
Elle encourage la jeune Starowski dans cette voie artistique, qui reçoit à 16 ans le prix de dessin des Beaux-arts.

Mais c’est aussi la peinture qui intéresse cette dernière, et son plus grand plaisir est de découvrir au Louvre ou ailleurs, les splendeurs inouïes des grands maîtres de la peinture tels que Raphaël, Rembrandt, Gainsborough, Renoir et encore tant d’autres !

« Ce qu’ils nous ont donné est d’une telle richesse que l’œil ne peut pas tout recevoir du premier coup :
Si bien que telle une quête au trésor, on y découvre à chaque fois de nouvelles merveilles, et c’est un cadeau d’un prix inestimable ! »


Dans l’atelier de son père, « un maître très exigeant » elle apprend la technique de la peinture proche de celle des  anciens « un terme cependant un peu décalé lorsqu’on songe à leurs couleurs lumineuses, et d’une incroyable fraîcheur ! »

Puis à des fins d’étude, elle s’est également essayée à la peinture de quelques œuvres de maîtres, dont Léonard de Vinci ou Albert Anker :
 « En plus de s’émerveiller, c’est aussi une tentative de percer quelques mystères de leur art…
Pour autant bien sûr que l’œuvre en question veuille bien nous les livrer… Et peu importe si ce n’est que quelques perles, car c’est déjà de l’or ! » Dit-elle.


Conservatoire


A l'époque du conservatoire

À l’âge de 17 ans, elle entre aussi au Conservatoire de Genève, pour y poursuivre ses études de piano avec Madame Nadine Reboul, qu’elle continue deux ans plus tard avec un excellent professeur russe, au Conservatoire du Caire.

Aujourd’hui, elle joue encore Chopin, Schubert, Beethoven ou Mozart à Résonnance, la magnifique et généreuse fondation « qui va partout pour donner de la musique où elle n’est pas » présidée par Elisabeth Sombard, et parrainée par Thierry Lhermitte.



 L’illustration est pour elle un univers magique :

« Car c’est un moyen de retrouver ses émotions et ses yeux émerveillés d’enfant, qui restent toujours en nous…
Comme un refuge inconditionnel dans le fond le plus secret de notre âme, c’est un état de grâce infiniment précieux et qui heureusement ne meurt jamais, quelque que soit le vécu de chacun.»


Pourquoi une œuvre a ce quelque chose qui nous fascine ?

Trouver la réponse serait déjà une quête en soi, mais cela demeure un mystère.